Message donc à tout ceux qui jugent le rap [américain, notamment] sur leur première impression: faux. Bigg Steele traduit bien une sorte d’ambiguïté par rapport aux intentions de ce qu’il fait, à savoir s’il se joue de nous ou s’il croit vraiment ce qu’il dit. C’est l’impression que j’ai voulu retransmettre dans ma critique de son album, Size Duz Matter. Car, Bigg Steele amène à la fois un rap relativement conventionnel, mais avec quelques éléments d’énonciation dans les paroles [un « gangster » qui dit « Please don’t call the cops« ], dans la musique [des éléments de rupture qui n’en font pas une musique pour danser] et dans le rapport entre les deux [une petite fille qui dit: « That’s what the hood is made of« ].
Merci de m’avoir donné le libellé en latin, que je cherchais sur le net. C’est ainsi que Louis Pasteur a…
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