« Despite the proximity of the USA, very few U.S. rappers perform in Montreal because street fights between ethnic groups are feared [1]. »
Ma découverte de cet ouvrage n’en est qu’aux premières explorations, mais c’est le genre de phrases assez intéressantes à lire. Il serait intéressant d’aller plus en profondeur dans, par exemple, des statistiques qui prouveraient cette constatation, ou encore des témoignages de gens qui sont ou ont été plus près de cette réalité dans le milieu hip-hop à Montréal (ou de ces artistes américains).
1. Roger Chamberland, « Rap in Canada. Bilingual and Multicultural », Global Noise. Rap and Hip-Hop Outside The U.S.A., Tony Mitchell (dir.), Middletown, Wesleyan University Press, 2001, p.323.
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