Quebecor a investit 2,5 millions pour numériser la totalité de la cinématographie québécoise: c’est du moins ce qu’un commentaire dans le Devoir stipule. On ne peut pas vraiment être « contre » ce genre d’actions, même si derrière toute cette idée arrivera sans aucun doute des conditions (ex: exclusivité de la diffusion du matériel numérisé via Illico).
Par contre, il y a une chose qu’on peut (et qu’on doit) dire : pour donner, il faut avoir. C’est à mon avis quelque chose dont il faut se rappeler. La générosité existe aussi pour ceux qui n’ont pas 2,5 millions, et être généreux dans l’investissement de son temps est d’autant plus honorable qu’apposer sa signature sur un chèque.
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