La fiction des textes de rap

À propos de la « potentielle fiction » derrière les propos d’un rappeur, Akhenaton en donnait un exemple éloquent:

Ce que le cinéma se permet, la télé
Les livres, et les magazines pour nous c’est prohibé
Incitation à la violence
C’est comme si pour chaque meurtre on inculpait Jack Palance (« Dangereux », L’école du micro d’argent, 1997)

Il s’agit de donner le bénéfice du doute à l’artiste quant à un écart entre ses propos et sa vie réelle. Le rap, comme les autres arts narratifs ou figuratifs, créent une diégèse, mais a un préjugé négatif qui fait que la plupart des gens n’y distinguent pas la fiction de la réalité.

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Commentaires

2 réponses à “La fiction des textes de rap”

  1. […] amalgame entre le rap et la violence. Qu’ils comprennent qu’il y a une (bonne) part de fiction dans les textes de rap. Idem pour les jeux vidéo en passant. Décidément, je serais supposé être quelqu’un de […]

  2. […] sont présents ailleurs que dans le battle rap). Je pense qu’on peut comprendre qu’il ne s’agit que de fiction quand on voit que les deux pugilistes se félicitent en fin de joute. D’une manière ou […]

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