« C’est mon seul regret, j’aurais voulu être là
Te faire sauter sur les genoux, devenir gâteux quand je te vois
Tant pis, c’était pas marqué sur mon carnet de santé
Le doc a dit que je pouvais pas rester, alors j’ai dû m’envoler
Mais si tu te sens trop seul, largué
Y’a toujours une personne à qui tu peux penser, et ça tu le sais » (Shurik’n, « Lettre », Où je vis, 1998)
Te faire sauter sur les genoux, devenir gâteux quand je te vois
Tant pis, c’était pas marqué sur mon carnet de santé
Le doc a dit que je pouvais pas rester, alors j’ai dû m’envoler
Mais si tu te sens trop seul, largué
Y’a toujours une personne à qui tu peux penser, et ça tu le sais » (Shurik’n, « Lettre », Où je vis, 1998)
L’album solo de Shurik’n a un style particulier, une atmosphère assez différente d’IAM, beaucoup plus personnelle et intimiste, dans les paroles mais aussi dans le son. « Lettre » est pour moi extrêmement touchante.
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