Il y a toujours quelque chose que j’ai trouvé fascinant dans l’existence des magazines féminins. C’est une communauté d’intérêts, un peu comme le sont les revues de jeux vidéo, de films, de sports, de voitures, mais ces intérêts sont regroupés sous une appelation de genre. Je sais qu’il existe aussi des équivalents masculins, mais ils sont si marginaux et peu unanimes quant à ce que veut dire « masculin » qu’ils en sont ridicules. Mais les magazines féminins, aussi ridicules soient-ils, sont omniprésents, vendent et sont lus.
Comme plusieurs revues, la couverture est couverte de petites phrases cherchant à décrire rapidement des articles du contenu qui susciteraient davantage d’intérêt. Alors qu’on croirait vouloir favoriser la diversité des thèmes exploités, dans cet exemple de Moi & cie, on cherche à faire vendre avec trois accroches liées à la minceur ou au poids.

La belle époque.
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