Je n’avais encore jamais vu L’homme qui plantait des arbres (Frédéric Back, 1987), ou alors c’était il y a très longtemps, sans y porter trop d’attention et sans voir ce que je viens de voir.
Je n’ai pas grand-chose à en dire qui rendrait véritablement justice à la force de cette œuvre. Le parallèle entre la grandeur des possibilités qu’un seul individu peut apporter et l’ampleur de la destruction que l’humanité a fait entre temps est puissant mais simple à la fois, comme le passage d’un dessin terne à celui d’une large palette de couleurs.
Je suis professeur en études vidéoludiques à l’Unité d’enseignement et de recherche (UER) en création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue au centre de Montréal depuis août 2016. J’ai écrit une thèse de doctorat sur l’histoire des jeux de stratégie en temps réel. J’ai écrit cet article alors que j’étais chargé de cours, d’abord en études du jeu vidéo (Université de Montréal) puis en communication (UQAM). Mes jeux de prédilection sont StarCraft, Sid Meier’s Civilization II, Final Fantasy VI, Crusader Kings II et Ogre Battle.
Je suis professeur en études vidéoludiques à l’Unité d’enseignement et de recherche (UER) en création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue au centre de Montréal.
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