Je n’avais encore jamais vu L’homme qui plantait des arbres (Frédéric Back, 1987), ou alors c’était il y a très longtemps, sans y porter trop d’attention et sans voir ce que je viens de voir.

Je n’ai pas grand-chose à en dire qui rendrait véritablement justice à la force de cette œuvre. Le parallèle entre la grandeur des possibilités qu’un seul individu peut apporter et l’ampleur de la destruction que l’humanité a fait entre temps est puissant mais simple à la fois, comme le passage d’un dessin terne à celui d’une large palette de couleurs.
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