Un récent article de Shaun McInnis sur le site GameSpot résume une entrevue avec Thomas Johansson, à la tête d’Europa Universalis IV (Paradox Development Studios, 2013), où il fait la distinction nécessaire entre complexe et compliqué. J’avais déjà discuté de la distinction tout aussi nécessaire entre complexité et difficulté, ce qui me semble très similaire et tout aussi fondamental d’en voir une distinction. Leur discussion est fort intéressante, et le contexte des jeux de « grand strategy » de Paradox se prête effectivement bien à ces deux concepts.
Par ailleurs, si vous commandez Europa Universalis IV avant sa date de sortie dans deux jours (le 12 août), vous aurez droit au convertisseur de vos parties de Crusader Kings II à la Renaissance. Autrement dit, vous pourrez reprendre vos possessions dynastiques en Europe là où vous les avez laissées.
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