Un extrait de la critique de The Hobbit: The Desolation of Smaug (Peter Jackson, 2013) de Caroline Savard sur Le Quatre trois.
C’est inévitable, Le Hobbit fera d’énormes recettes au box-office. C’est justement ce qui est regrettable, car les studios y voient la preuve qu’ils peuvent s’emparer d’une œuvre classique et en faire absolument n’importe quoi tout en parvenant tout de même à accumuler les gains.
Disons qu’après le peu d’appréciation que j’ai eu du premier volet de la trilogie, ça ne me donne pas trop le goût…
Je suis professeur en études vidéoludiques à l’Unité d’enseignement et de recherche (UER) en création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue au centre de Montréal depuis août 2016. J’ai écrit une thèse de doctorat sur l’histoire des jeux de stratégie en temps réel. J’ai écrit cet article alors que j’étais chargé de cours, d’abord en études du jeu vidéo (Université de Montréal) puis en communication (UQAM). Mes jeux de prédilection sont
StarCraft,
Sid Meier’s Civilization II,
Final Fantasy VI,
Crusader Kings II et
Ogre Battle.
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