Ceci est mon 800ème article de blogue

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J’ai presque passé tout droit (car mon prochain billet est déjà dans la file d’attente pour publication), mais ceci est mon 800ème article de blogue.

Vous allez me dire que je triche un peu, parce que, bon, j’ai publié quelques articles «rétrospectivement» (j’ai remis mes archives de critiques d’albums et d’entrevues) ou encore parce qu’à l’époque où Twitter et Facebook étaient marginaux, les blogues servaient à écrire de petits billets sans trop de substance — comme la fois où j’annonçais que mon lecteur mp3 était mort, ou celle où j’écris que j’ai été hacké.

Mais bon, c’est quand même pas si mal. Il s’est écoulé quand même un bon 13 ans depuis mon premier article (presque jour pour jour), article qui débutait avec ce qui pourrait être un peu l’adage de ce blogue:

Comme de fait, c’est le genre de choses qu’on se dit qu’on commence, mais que finalement on ne finit plus.

Définitivement, je ne suis pas prêt de finir.

Je souhaitais au départ écrire surtout pour complémenter mes critiques d’albums, ayant lu sur WebRankInfo qu’un blogue était le premier outil pour un bon référencement, considérant qu’on y aborde de nombreux sujets de différents angles et avec différents tons — et donc qu’on génère de nombreux mots-clés du domaine sur lequel on écrit.

À force d’écrire, j’en suis venir à écrire sur les jeux vidéo, sans prétention vraiment. Mais étant un étudiant en fin de bacc, j’allais bientôt choisir de me lancer dans les études supérieures — et choisir d’y aborder le jeu vidéo.

Aujourd’hui, je l’utilise pour complémenter mes cours (depuis que j’ai donné mon cours sur l’immersion), pour diffuser ou synthétiser mes recherches (mon mémoire de maîtrise par exemple), ou simplement pour le plaisir d’écrire sur les jeux vidéo.

Je m’ennuie cela dit de l’âge d’or des blogues, où on pouvait facilement rebondir sur les sujets des autres, se relancer; où on se sentait faire partie d’une communauté. Certains vieux billets sont marqués de cette époque et je ne sais parfois plus trop pourquoi je suis entré dans un débat. Peu de blogues et de blogueurs de cette époque ne m’ont l’air encore actifs; je lisais encore tout récemment Pattie O’Green et Amélie Paquet (maintenant chez Le bal des absentes) qui ont débuté dans la même période.

Et on continue tant que le plaisir y est.


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