Je parlais hier des jeux auxquels je jouais quand j’étais jeune et de la relation de mes enfants vis-à-vis des jeux vidéo. Ces temps-ci, on…
Journal de bord
Je suis souvent surpris d’à quel point les jeux vidéo forment dans ma tête différents « blocs » de mémoire reliés entre eux par des…
J’ai terminé il y a quelques semaines Kona (Parabole, 2017) et j’aime bien l’ambiance. Un peu comme Sang-Froid: Tales of Werewolves (Artifice Studio, 2013), on…
Un de mes collègues m’a chaudement recommandé BATTLETECH (Harebrained Schemes, 2018) et j’avoue être tombé sous le charme. C’est un jeu de tactique pas trop loin de la série XCOM où on choisit une équipe de quatre commandants contrôlant quatre « mechs » qui devront affronter une menace inconnue sur un champ de bataille. Le jeu nous permet d’incarner un groupe de mercenaires qui naviguera d’un système planétaire à l’autre pour prendre des contrats et accumuler argent et morceaux de mechs.
J’ai vraiment tenu à finir Uncharted 4: A Thief’s End (Naughty Dog, 2016) bien qu’honnêtement, ce n’est pas un jeu que j’ai particulièrement aimé. En…
J’ai enfin terminé mon premier Fire Emblem il y a quelques mois. C’est une série qui m’intriguait depuis longtemps parce qu’elle me semble emblématique —…
À l’exception du début du jeu et de la fin, tout l’espace de jeu est dans le noir total. Et c’est ce qui fait la particularité de Scanner Sombre qui exploite à fond une seule mécanique. Le fusil du joueur est une sorte de sonde : un tir est une sorte de laser qui laisse une trace lumineuse au mur qui change de couleur selon la proximité de la surface (et suivant d’autres paramètres plus tard dans le jeu).
L’incarnation des personnages dans les jeux vidéo est parfois étonnante. Lego Marvel Super Heroes (TT Games, 2013) auquel je joue depuis un certain temps avec mon enfant m’a mis en évidence que l’incarnation peut prendre différents modes au sein d’un même jeu, changeant parfois les défis d’une manière étonnante.