Faerie Solitaire (Subsoap, 2009)

J’ai toujours eu mes jeux désinvoltes de prédilection pour les moments où j’ai besoin d’une expérience légère et sans trop d’engagement soutenu. Faerie Solitaire a vraiment joué ce rôle lorsque je terminais ma thèse et m’a même inspiré une courte mention en parlant de paradigme de décryptage. Inspiré de Microsoft Solitaire, il reste un très bon exemple d’une variation sur un principe simple.

Faerie Solitaire (Subsoap, 2009), reprenant quelques principes du solitaire, en donne un bon contre-exemple. Plutôt que de défausser les cartes de chaque couleur de l’as au roi, le joueur débute avec une carte en haut de sa pile et peut défausser les cartes assemblées sur la table de façons variées à condition qu’elles suivent ou précèdent immédiatement la carte du haut de la pile dans la série allant de l’as au roi. Contrairement au solitaire, il n’y a pas nécessairement 52 cartes toutes différentes; chaque niveau présentera des cartes préassemblées pour ajuster la difficulté (cité ici).

Partager

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Commentaires récents